


Al-Ram, Jérusalem-Est


Qalandia, mars 2018.

6 mars 2018: à l'intérieur du checkpoint de Qalandia, séparant Ramallah de Jérusalem, c'est la cohue. Depuis 5 heures du matin, des travailleurs palestiniens attendent de passer le checkpoint. La situation dégénère une première fois vers 7 heures: cris, bousculades.
Aujourd'hui, les soldats israéliens ont décidé de jouer avec les nerfs des candidats au passages. Certains attendront 4 heures avant de franchir le checkpoint, d'autres renonceront purement et simplement.

Qalandia

A l'intérieur du checkpoint de Béthleem.

Béthleem

Kufr Aqab, à Jérusalem-Est

En fond, la bande de Gaza.

Le checkpoint de Erez, qui sépare Israël de la bande de Gaza.
Mur de séparation entre le sud d'Israël et la bande de Gaza.
Le terminal piéton de Erez, lui reste désespérement fermé pour l'immense majorité des habitants de Gaza.

Contrairement aux apparences, ce mirador n'est pas israélien, mais égyptien. Il se situe au point de convergence de trois frontières: Israël, Gaza, et l'Égypte.

Deux jeunes filles, près du camp de réfugiés d'Aida, à Béthleem.

Un mirador de surveillance, à l'entrée d'une colonie israélienne, en Cisjordanie.



